Tuesday 30 December 2014

Cornelia Funke - Tintenblut (Tintenherz 2)

So, ich hab' jetzt mit gestern doch schon den zweiten Teil von Tintenherz, Tintenblut, angefangen. Das war vielleicht ein Fehler wenn man bedenkt, wie viel ich für die Uni tun sollte ... und wie viel andere Bücher ich eigentlich gerade les'. Aber ich wollt' einfach wissen wie es mit Meggie, Mo, Elinor und allen anderen weitergeht! 

Ich bin heute jetzt auf ungefähr Seite 200 angekommen und muss sagen, langsam wird's echt wieder spannend! Die ersten 100 Seiten waren schon etwas langwierig - das lag wahrscheinlich vor allem daran, dass beinahe jeder Charakter seine eigene Exposition hatte: was geschah mit ihm/ihr in Tintenherz, welche Probleme hat er/sie am Anfang von Tintenblut. Meiner Meinung nach wurde einfach zu viel rekapituliert. Aber es gab auch einige sehr süße Momente ... und einen von denen hab' ich versucht zu zeichnen! Unten seht ihr eine Annäherung dessen, wie ich mir Meggie und Mo ungefähr vorstelle ... Betonung auf ungefähr, weil meine Zeichenkünste bei Weitem nicht gut sind. Aber das seht ihr ja selbst ;)!

"Meggies Entscheidung" (Tintenblut)
Mo kam zurück, als sie alle gerade beim Frühstück saßen [...] Mo zwinkerte Meggie über den Tisch hinweg zu. 
Es brach ihr das Herz. Er zwinkerte ihr zu, seiner hinterhältigen Tochter, die plante fortzugehen, an einen Ort, an den er ihr vermutlich nicht würde folgen können. (Tintenblut, "Meggies Entscheidung", S. 86-88)
Ähhh ... fragt lieber nicht warum Mo Ähnlichkeit mit Harry Potter hat xD! Zu meiner Verteidigung kann ich nur sagen, er hat in meiner Vorstellung zumindest rote Haare! Das lässt sich nur bei einer Bleistiftzeichnung nicht so gut zeigen ...

Na gut, ich setz' mich dann mal zurück an die Lektüre ... bin schon gespannt wie's weitergeht!

Zitate

Funke, C. (2005) Tintenblut. Hamburg: Cecilie Dressler Verlag.

Saturday 27 December 2014

Hergé - Coke en Stock (Les Aventures de Tintin #19)




Tout d’abord, je vous prie d’excuser mon français – je l’apprenais à l’école il y a six ans et depuis ce temps-là, il ne s’est pas amélioré. Pardon à tous!
 
Alors, pour commencer avec cette critique : j’adore la série de « Tintin ». Je l’adorais depuis mon enfance, parce qu’il y a des aventures, un protagoniste très aimable, un chien super mignon, et beaucoup de pays inconnus. Ce que j’adorais le plus, cependant, c’est l’amitié du capitaine Haddock et Tintin. Dans cet album, ils sont meilleurs amis pour plusieurs ans déjà, et c’est évident par le haut degré de confiance Tintin met au capitaine et vice versa. De plus, ils se complètent parfaitement quant à leurs personnalités : Tintin est un jeune homme très poli, curieux, prudent et vertueux, tandis que le capitaine est un personne très drôle (sans le faire exprès), pas du tout poli, fidèle et connaissant le monde (surtout la mer) comme personne d’autre. Ensemble, ils constituent une équipe très aimable que personne ne peut arrêter. 

Dans cette bande il y a beaucoup de scènes qui montrent précisément cela, surtout à la fin, quand Tintin et Haddock doivent se battre avec leurs ennemis : alors que Haddock conduit le navire, Tintin appelle à l’aide avec la radio et c’est comme ça que les deux peuvent être sauvés par les Américains avant d’être immergé dans la mer. D’ailleurs, il y a beaucoup de scènes très mignonnes : par exemple, quand un avion explose et Haddock s’inquiète pour Tintin. C’est vraiment très mignon – et drôle à la fois, parce qu’au moment d’explosion, capitaine Haddock tient une bouteille d'alcool à la main. Quand il entend l’explosion il s’inquiète pour sa bouteille d’abord, et se réjouit qu’elle est saine et sauve. Mais peu après il se rappelle que Tintin voulait voir cet avion, et à cause de sa panique soudaine, il casse sa bouteille lui-même. Naturellement ça lui rend un peu fâché, mais il s’inquiète davantage du sort de Tintin.

Haddock s'inquiète pour Tintin. (p.19-20)

Même si l’amitié de Tintin et Haddock dans cette bande dessinée est vraiment mignonne et il y a beaucoup de situations drôles, il y a à la fois un aspect qui est problématique : la représentation des Soudanais et Sénégalais. Certainement, avec l’esclavage moderne, Hergé choisissait un sujet assez pertinent pour cette BD. Au 21ère siècle aussi, malheureusement, elle existe encore : selon la BBC presque 30 millions gens en 162 pays doivent vivre comme esclaves (http://www.bbc.com/news/world-24573127). L’indignation de Capitaine Haddock quand il découvre que cette abomination existe encore est très compréhensible – et sa réaction de maudire les négrier avec toutes les malédictions qu’il connaît est vraiment juste. 


Haddock maudit le négrier. (p. 49)

Tout de même, la description des Soudanais et Sénégalais comme des gens bonnes mais à la fois simples (tout à fait comme enfants) est problématique, c’est le moins qu’on puisse dire. Quand le Capitaine Haddock leurs expliquent qu’ils seraient vendus comme esclaves s’ils continuaient leur voyage à la Mecque, ils ne le croient pas et répètent plusieurs fois qu’ils sont simplement « de bons Musulmans » (p. 47) en pèlerinage au tombeau du Prophète. Aïe, n’est-ce pas ? Je trouve la description des Africains comme des hommes crédules, extrêmement religieux et n’étant pas conscient de leur propre sort proche de racisme. En tout cas, ça me fait grimace.

Extrait de la page 47:



D’ailleurs, leur façon de parler semble un peu simple à moi : ils tendent à commencer leurs phrases avec le même mot et la structure de leurs phrases n’a pas beaucoup de variations. Pour la plupart, l’ordre est substantif – verbe – adjectif/complément de lieu/complément de temps, etc. Par exemple : « Oui, cap’taine, bien compris. Il est très méchant, cet Arabe. On veut pas être esclaves, nous. On veut simplement aller à la Mecque. » (p. 50) Certainement, il est très difficile de nier que c’est raciste.

En même temps, la chose que je trouve intéressant est qu’il y a deux personnes d’autre qui ne maîtrise pas un français parfait : Szut, l’homme d’Estonie, et le général Alcazar, venant de l’Amérique du Sud. Tandis que le dernier se distingue surtout par son accent espagnol (« yé … oui, yé voyage … Mais … excousez-moi, yé souis très pressé … Déyà en rétard à ouné rendez-vous … Yé vous quitte. » (p. 2)), la façon de parler du premier est vraiment simple. Pour la plupart, il peut seulement parler en phrases incomplètes et erronées : « Alors eux fâchés … Cassé le radio et battre avec moi … Alors moi … knock-out … Eux partis ?... » (p. 46)

Malgré cette circonstance, la façon de parler des Soudanais et Sénégalais me rend mal à l’aise – peut-être c’est à cause de la combinaison simple langue en plus d’une personnalité simple. En tout cas, je le trouve très problématique et je pense qu’il est important d’être sensible en ce qui concerne la représentation des autres nationalités.

En résumé, l’histoire de cette bande de Tintin présente une aventure passionnante, en figurant beaucoup de scènes mignonnes et drôles avec Tintin et capitaine Haddock (qui sont le cœur d’histoire, à mon avis). Toutefois, la BD également ouvre une fenêtre à un temps en Europe quand la représentation des autres nationalités dans la culture pop était problématique jusqu’au point d’être raciste et il est important d’être conscient de cela lors de la lecture.

Bibliographie

HERGÉ. (1958) Les Aventures de Tintin: Coke en Stock. Paris: Casterman.

Couverture du livre

http://en.wikipedia.org/wiki/The_Red_Sea_Sharks#mediaviewer/File:The_Adventures_of_Tintin_-_19_-_The_Red_Sea_Sharks.jpg

Wednesday 17 December 2014

Cornelia Funke - Tintenherz

(c) http://de.tintenherz.wikia.com/wiki/Benutzer:Butscheese

Ich hab' wirklich lang gebraucht um mich zu entscheiden in welcher Sprache ich diesen Eintrag verfassen würde, aber mich schlussendlich dann doch auf Deutsch festgelegt. Das Buch ist in der Originalsprache auf Deutsch erschienen, ich hab's auf Deutsch gelesen, die nachfolgenden Zitate sind alle auf Deutsch - wär' irgednwie komisch gewesen, jetzt nicht auch das Review auf Deutsch zu scheiben. Außerdem, wer sagt eigentlich, dass man die Sprachen auf seinem eigenen Blog nicht auch einmal mischen darf?

Aber genug der Vorrede! Heute geht's wie gesagt um Tintenherz, ein echt fabelhaftes Jugendbuch, das ich vor einigen Wochen fertig gelesen hab' - in weniger als einer Woche wohlgemerkt, trotz der über 500 Seiten und all der Dinge, die so angefallen sind (Beerdigung, Seminararbeiten, Präsentationen, ihr kennt die Leier ...). Bevor's mit dem Review losgeht, hier aber wie immer eine kurze Zusammenfassung:

Die zwölfjährige Meggie lebt bei ihrem Vater Mortimer, genannt Mo, der von Beruf Buchbinder ist. Beide verbindet eine Leidenschaft, nämlich das Lesen. In ihrem Haus stapeln sich die Bücher nur so richtig: auf dem Frühstückstisch, auf den Gängen, neben dem Klo ... keiner der beiden ist je ohne ein Buch. Doch auch wenn sie beide das Lesen lieben, so betrifft dies nur das stille Lesen: Meggies Vater weigert sich partout seiner Tochter laut vorzulesen, und dies hat einen sehr guten Grund. Mo hat nämlich eine besondere Gabe: er kann die Charaktere in den Geschichten buchstäblich ins echte Leben lesen, jedoch nur im Austausch für eine Person aus der realen Welt. Für jeden Charakter der in unsere Welt wechselt, muss ein Lebewesen in die Welt der Bücher übergehen ... und dies hat manchmal folgenschwere Konsequenzen ...

(c) http://de.tintenherz.wikia.com/wiki/Benutzer:Butscheese

Gut, und damit auf zum Review!

1.  Die Vater-Tochter Beziehung

Ich muss wirklich sagen, das Schönste an dem Buch war für mich eindeutig die Vater-Tochter Beziehung. Ohne sie wäre der Roman in meiner Bewertung um einiges schlechter ausgestiegen. Das Band, das Meggie und Mo verbindet ist einfach unbeschreiblich rührend: man spürt so richtig, wie die beiden aneinander hängen.

Für mich war es einfach erfrischend eine funktionierende Eltern-Kind Beziehung in einem Buch aufzufinden. Der Trend ist ja vor allem in der Kinder- und Jugendliteratur, dass die Eltern entweder schon lange tot sind, oder aber ein gestörtes Verhältnis zu ihren Sprösslingen haben. Da war es wirklich nett einmal eine positive Familiendynamik vorgestellt zu bekommen - und vor allem auch eine Handlung zu verfolgen, in der sowohl Kind als auch Elternteil zur Auflösung am Ende des Buches einen Beitrag leisten. 

Aber um euch ein Beispiel von diesen wirklich lieben Momenten zu bringen ...
"Müde streckte [Meggie] sich auf dem piksenden Stroh aus.
Mo zog sich den Pullover über den Kopf und deckte sie damit zu. 'Eine Decke brauchst du natürlich trotzdem', sagte er. [...]
'Aber du wirst frieren.'
'Unsinn.'" (Funke 2003, p. 165)
Gut, vielleicht bin ich hier etwas beeinflusst von meinen eigenen Erinnerungen an Momente, in denen mein Vater dasselbe für mich getan hat, aber das ändert nichts daran, dass ich's enorm lieb find'. 

2. Die Bildgewaltigkeit der Sprache

Manche Autoren schaffen es ihre Leser mit den ewig langen Beschreibungen einzuschläfern ... andere hingegen haben ein Talent dafür, die triffigsten und bildgewaltigsten Formulierungen zu finden, sodass man als Leser wirklich an jedem Wort hängt. Das ist in Tintenherz vor allem bei den Beschreibungen von Büchern und dem Lesen der Fall:
"[Mo] hob die Mappe auf den Tisch, in der er seine Vorsatzpapiere aufbewahrte, und blätterte abwesend darin herum. 'Jedes Buch sollte mit so einem Papier beginnen', hatte er mal zu Meggie gesagt. 'Am besten mit einem dunklen: dunkelrot, dunkelblau, je nachdem, wie der Einband des Buches ist. Wenn du dann das Buch aufschlägst, ist es wie im Theater: Erst ist da der Vorhang. Du ziehst ihn zur Seite, und die Vorstellung beginnt.'" (Funke 2003, p. 67)
Natürlich sind Geschmäcker bekanntlich verschieden, aber ich mag Vergleiche wie in dem Zitat wirklich sehr - mir kommt das einfach wirklich treffend vor, der Vergleich von Lesen mit dem Theater, und ich kann mir darunter auch wirklich etwas vorstellen.

Wirklich treffend werden darüber hinaus auch Gefühle, wie etwa Angst, beschrieben, wie im nächsten Zitat hervorgeht. Meggie ist gerade eben von dem Bösewicht der Geschichte gefangen genommen worden, und versucht sich Mut einzureden, obwohl sie erstarrt vor Angst ist:
"Was für ein Feigling sie doch war! Sie versuchte sich Mut an irgendeinen Helden zu erinnern, dessen Haut sie überstreifen konnte, um sich stärker, größer, furchtloser zu fühlen. Warum fielen ihr nur Geschichten über die Angst ein, während Capricorn sie musterte? Es fiel ihr doch sonst so leicht, an andere Orte zu verschwinden, in Tiere und Menschen zu schlüpfen, die es nur auf dem Papier gab, warum nicht jetzt? Weil sie Angst hatte. 'Weil die Angst alles tötet', hatte Mo irgendwann mal zu ihr gesagt, 'den Verstand, das Herz und die Phantasie sowieso.'" (Funke 2003, p. 140)
Ich finde, dass vor allem der letzte Satz eine wirklich schöne Beschreibung davon ist, was passiert, wenn man sich fürchtet. Und außerdem empfinde ich es als wirklich erfrischend, dass die Heldin der Geschichte nicht, wie üblich in Romanen, von irgendwoher auf einmal Mut schöpft und sich dem Bösewicht entgegenstellt. Ich glaube die Angst wird in solchen Abenteuergeschichten immer viel zu unreichend thematisiert, und ich denke, dass gerade die Werke, die sich auch mit Gefühlen der Unsicherheit auseinandersetzen besonders gut sind.

3. Die Intertextualität

Den Bezug den die Autorin auf andere Bücher der Kinder- und Jugendliteratur finde ich auch wirklich nett und interessant. Sie tut dies auf mehr oder weniger drei Arten:

1) durch Zitate am Kapitelanfang, die den Inhalt schon ein wenig vordeuten.
2) durch Mo und Meggies Unterhaltungen über ihre Lieblingsbücher.
3) durch Personen aus Büchern, die von Mo in die reale Welt gelesen werden (welche das sind verrate ich hier allerdings natürlich nicht!).

Vor allem die Zitate am Kapitelanfang fand ich sehr nett, weil sie mich auf eine Reihe von Büchern aufmerksam gemacht haben, die ich jetzt auch lesen will ... etwa wie The Princess Bride oder Das Fliegende Klassenzimmer.

Mo und Meggies Unterhaltungen waren auch spannend - vor allem, weil nicht immer eindeutig gesagt wird, über welches Buch sie sprechen, und man dadurch ein wenig raten darf. (Und sich natürlich dann freut, wenn man richtig liegt!)

4. Persönlicher Bezug

Der letzte Pluspunkt, den dieses Buch von mir bekommt, dreht sich um den beinahe persönlichen Bezug, den ich zu ihm entwickelt habe - und damit mein' ich prinzipiell alles, das mit dem Lesen zu tun hat. Es gab einfach insgesamt so viele Momente in denen ich mir dachte: "Jap, das tu ich auch." oder "Genau so geht's mir auch immer", dass ich echt das Gefühl hatte, als hätte mir die Autorin in die Seele geschaut und dann das Buch speziell für mich geschrieben - oder zumindest bestimmte Szenen darin. Zum Beispiel gibt es da diesen einen Moment, bevor Meggie ein Buch aufschlägt ...
"Meggie strich über den Einband, so wie sie es immer tat, bevor sie ein Buch aufschlug. Das hatte sie Mo abgeschaut. Seit sie denken konnte, erinnerte sie sich an diese Bewegung - wie er ein Buch in die Hand nahm, fast zärtlich über den Einband strich, und es dann aufschlug, so, als öffnete er eine Schachtel, die bis zum Rand mit nie gesehenen Kostbarkeiten gefüllt war." (Funke 2003, p. 532-533)
Ich muss zugeben, das mach' ich auch öfter, auch wenn's ein wenig freaky ist ...

Und dann erzählt Meggie später davon, wie schön sie es findet, Wörter auszusprechen:
"Tinker Bell. Meggie flüsterte den Namen gleich zweimal, sie hatte es immer schon geliebt, ihn auszusprechen, mit diesem kleinen Stups der Zunge gegen die Zähne und dem weichen B, das wie ein Kuss von den Lippen rutschte." (Funke 2003, p. 387)
Das trifft für mich jetzt nicht unbedingt auf Deutsch zu, aber in Bezug auf Englisch auf jeden Fall. Manchmal stimmt es mich einfach wirklich froh, englische Wörter auszusprechen - vor allem in Kombination mit Musik. Ich weiß auch nicht wirklich warum, aber manchmal find' ich's einfach schön. Wieder freaky ich weiß ...

5. Das Tempo

Schlussendlichnoch schnell zum Tempo des Buches: ich hab' viele Reviews gelesen, in denen sich Leute darüber beschweren, dass die Geschichte sich entweder zu langsam entwickelt oder auch das habdlungsmäßig einfach gar nichts passiert. Dem kann ich so nicht zustimmen, auch wenn ich mir durchaus vorstellen kann, dass für Leute, die lange Bücher nicht so gerne lesen, die Geschichte sicherlich langsam voranschreitet. Außerdem haben sie in einem Punkt schon recht: die Geschichte hätte sich definitiv kürzer auch erzählen lassen. Ich finde nur, dass dadurch ein für mich wichtiger Teil des Buches, nämlich einerseits die Vater-Tochter-Beziehung und andererseits die sprachliche Qualität, gelitten hätte. Klar, viele der Beschreibungen hätte man wegkürzen können (etwa das obige Zitat mit dem Vergleich Theater-Buch), aber ich finde, dass dadurch der Charme des Buches verloren gegangen wäre.
So, jetzt ist aber echt genug! Kurz und bündig: mir hat das Buch gefallen und ich freu' mich schon darauf den nächsten Teil zu lesen. 

Zitate

Funke, C. (2003) Tintenherz. Hamburg: Cecilie Dressler Verlag.

Saturday 13 December 2014

Smaug (JRR Tolkien - The Hobbit)

Something Hobbit related today, since the third part of the film trilogy is out! I hope I can watch it sometime next week ...

I've found an article in the guardian today which has a focus on Smaug. It deals with the history of dragons in general, but has some very intriguing stuff on our favourite dragon from The Hobbit, too. 

The most interesting Smaug related fact is the derivation of the dragon's name. According to the author, the name Smaug really comes from the old German word "smugan", which means "to squeeze through a hole". Apparently, this is meant in reference to what Jesus said about rich men having less of a chance of getting into heaven than a camel squeezing through the eye of a needle. I think that's sound, considering how rich Smaug is after he's taken control of the Lonely Mountain - but my personal suspicion is that it might also have something to do with Smaug's position in a mountain itself. I think for a big dragon there might be some squeezing involved if one wants to enter a dwarf mine ... 

Over on the LOTR wikia they seem to suggest that another way of interpreting Smaug's name would be to trace it back to the Old English word "smeag", which means "worm". I think this makes a lot of sense, too, considering Tolkien was very influenced by Scandinavian mythology and the lindworm plays an important role in those.

Another interesting thing is the comparison that is made between Tolkien's own illustration of Smaug and Peter Jackson's version, and how they look nothing alike:

Tolkien's Smaug

Smaug in "The Desolation of Smaug"

... Yeah, I can sort of see their point.

That's all with regard to Smaug here, however I find the entire article highly readable and if you're at all interested in dragons I would really suggest you head over to the guardian right now!

Happy Hobbit week everyone!

Links & Refereces

Guardian: http://www.theguardian.com/film/2013/dec/09/brief-history-dragons-smaug-hobbit-tolkien
LOTR wikia: http://lotr.wikia.com/wiki/Smaug

Wednesday 10 December 2014

Agatha Christie - Murder on the Orient Express

(c) https://www.flickr.com/photos/jvk/
Despite having a truly epic workload last week (which included having a whole day seminar on both Saturday AND Sunday!) I managed to finish reading two books and a short story, possibly by using one of the Ministry of Magic’s time turners. (Don't ask me for more details though, or I'll have to obliviate you …) 

Among the books I finished was Murder on the Orient Express by Agatha Christie, which I’ve decided to pick for this review, since I really grew to love it and it definitely deserves to have a few words said about it. 

For those of you who, like me, have managed to live under a rock for the past eighty years or so here's what it's about: 


Famous Belgian private detective Hercule Poriot is travelling on the Orient Express from Stamboul to Calais, when he is suddenly approached by one of the passengers, a man by the name of Rachett. Ratchett tells him that he has received threats on his life and asks Poirot to investigate the matter. However, having doubts about the man’s character and thinking him a bad sort, Poirot refuses the case. The next morning Ratchett is found dead in his compartment. With all the evidence suggesting that one of the other train passengers must be the culprit, Poirot sets out on his investigation to discover the murderer …  


Okay then, let's dive right into the actual review!


1. The International Aspect: Languages and Stereotypes :)

As we have people from all manner of (mostly) European nations assembled on this train, there is naturally a wide variety of languages being spoken. The most exciting thing for me about this is that although the text is written in English, of course, the languages that the characters actually speak throughout the majority of the novel are not English, but rather French and German - and Agatha Christie really makes a point of telling her readers about this, always pre-empting an interview with a little aside as to which language is going to be spoken.

I suppose this sort of reflects the situation in Europe at the time, since English was not as widely spoken as nowadays, and you had to know more languages to get around. Nowadays you'd probably be alright with knowing only English - at least in my experience. I found it fascinating in the book though, because it was like a little window into the linguistic past of Europe!

Another thing that was quite entertaining were the stereotypes the characters had of each other - and they were really not shy about sharing them. Like, the Englishman really disliked the American, everyone was suspicious of the Italian, the German lady was convinced that kidnappings would not happen in her home country, etc. In a way it was all so stereotypical it really made me giggle.


2. Possible Sherlock Holmes References :D

Funnily enough, there were quite a number of times when I thought that Christie might be referencing Sherlock Holmes a little bit. For instance, there is this one bit at the end of chapter three when Poirot refuses to work for Ratchett, and this is the reason he gives him: 
"'You do not understand, Monsieur. I have been very fortunate in my profession. I have made enough money to satisfy both my needs and my caprices. I take now only such cases as - interest me.'" (Christie 2001, p. 46
This attitude struck me as very Holmes-ian, seeing as I'm sure that Holmes had a similar policy towards accepting cases. (Although to be fair, I think Poirot might also be lying a bit here - I think he just really disliked the idea of working for Ratchett, and that's why he refused the case.) 

There's another point later on in the story, when my Sherlock Holmes radar went a bit crazy: 
"'It is a good phrase that,' said Poirot. 'The impossible cannot have happened, therefore the impossible must be possible in spite of appearances.'" (Christie 2001, p. 213)
Who could not think of Holmes' famous words at this point, telling Watson exactly the same?
"'How often have I said to you that when you have eliminated the impossible, whatever remains, however improbable, must be the truth?'" (Doyle 2010, p. 51)
... I have to admit, I still get shivers when Benedict Cumberbatch says that line in 'The Hounds of Baskerville". It's just pitch-perfect in my view. But moving on ...


3. The structure of the novel :( & :) 

Initially, the way that the story was structured really bothered me. After Ratchett is found dead, Poirot conducts a series of interviews in the dining wagon, and its arranged in such a way that he questions a different suspect every chapter - which gets teeedious after a while, because the chapters are structured in much the same manner! First Poirot consults with his friends about the possible identity of the murderer, then he interviews the next suspect, and finally there is some reflection about the truth value of the statements of the latest interviewee and whether they could have done it. This very repetitive style is reflected in the chapter titles as well: 

The Evidence of the Wagon Lit Conductor 
The Evidence of the Secretary 
The Evidence of the Valet 
etc. 

See what I mean? 

On the other hand, I have to admit that once the case seemed to start clearing itself up a little I was absolutely hooked. All of a sudden I was really looking forward to Poirot calling in the next suspect, in finding out more about their backstory and putting the pieces of the puzzle together! Maybe I just had to get used to the style, or perhaps I just wasn’t that interested in the murder initially … but boy, this story gains momentum if you give it a chance! Once it started drawing to a close, I really couldn’t stop reading anymore, so keen was I on finding out who the murderer was and whether my suspicion was right (which it was!).


4. Comedy 

There are quite a number of comedic moments in this, which surprised me given my expectation of crime as a very serious genre: cold reason, sharp logic, you know, that kind of stuff. There are some genuinely funny scenes in this, however, and the genius thing is that they are not detrimental to the suspense of the story at all, but rather add to its uniqueness. Plus, it also reflects reality, I think, because I can't imagine that police officers in real life actually walk around with serious faces 24/7.

But anyway, let's get to the last part of this: all the interesting links and trivia that I found while researching this story on the internet!


5. Links and Trivia

The Orient Express

So, first of all here's a picture of the route the different kinds of Orient Expresses took:
(c) http://commons.wikimedia.org/wiki/User:Devilm25
The interesting thing is that Christie's story is actually set on the Simplon Orient Express (the purple line), and not the real Orient Express (the blue line) so to speak. This is explained really well on this website, but basically what it boils down to is that next to the original Orient Express, there were two other Orient Expresses running at the time, the Arlberg Orient Express and the Simplon Orient Express - and it was this latter one that Christie chose to set her story on. (Also interestingly, the original Orient Express ran until December 2009, when it was discontinued by the Austrian Rail Company ÖBB). Anyway, if you want to find out more, I can only recommend this website again - among other things it's got pictures of the original Orient Express, as well as its original timetable and a description of what it would have been like to travel on this train: Seat61,

Mapping the Story

The next thing which I found really interesting was the page on Murder on the Orient Express on Christie's official website. If, like me, you're into really finding out everything about the location the story is set in, then I can recommend scrolling down the website a little bit - there's a map which lets you click on all the different places that are mentioned and visited in the novel, which I find very useful in terms of visualising the setting.

Audiobook

And lastly, here's a link to an excerpt of the audiobook, read by Dan Stevens - I love the different voices he does for the characters! It's really funny!


References & Sources

Christie, A 2001 (1934), Murder on the Orient Express, Harper Collins, London.

Doyle, AC 2010 (1890), The Sign of Four, Penguin, London.


History of the Orient Express at Seat 61:  
http://www.seat61.com/OrientExpress.htm#.VIiU1MmLC4x